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BDAN DOCS

4 janvier 2007

Grille d'analyse 8 Présentation de la collection

Grille d'analyse 8

Présentation de la collection

Nom de la collection : Collection numérique de l’Orient

URL Domaine : http://www2.mom.fr/bibliotheque/bibnum/

Responsables/collaborateurs : La bibliothèque de la Maison de l’Orient

Objectifs de la collection : Cette collection propose des ouvrages concernant les domaines de l’égyptologie et de la civilisation gréco-latine, qu’il s’agisse d’histoire, d’archéologie ou des textes classiques. La majorité de ces ouvrages sont en latin.

Public visé : Historiens, grand public

Organisation intellectuelle de la collection

Description du fonds : Cette collection est assez petite puisqu’elle contient en tout 62 ouvrages.
Présentation du fonds et qualité des textes introductifs : La présentation de cette collection est claire et très bien structurée. En effet, les titres, auteurs, et années des ouvrages sont classés par ordre alphabétique dans un tableau et il est donc très facile de se repérer.

Cohérence de la sélection documentaire : Bonne cohérence documentaire. 

Base de donnée commune ou propre : Base de donnée propre. 

Métadonnées internes ou externes : Métadonnées externes. Les ouvrages ont effectivement des notices.

Modes d’interrogation de la base : Pour rechercher un ouvrage, l’utilisateur va dans la rubrique « rechercher ouvrage ». Une page s’ouvre et il peut effectuer une recherche en entrant le titre de l’ouvrage, le nom de l’auteur, l’année, l’éditeur, les mots du sujet, le nom de lieu (correspond à une indexation du contenu des ouvrages par site géographique) et le repère chronologique (correspond à une indexation du contenu des ouvrages par périodes historiques). Il peut entrer un ou plusieurs critères pour affiner sa recherche. De même, il n’est pas obligé de saisir l'intégralité des titres d'ouvrage : la saisie de quelques mots, à condition qu'ils se suivent effectivement dans le titre recherché, d'un seul mot ou même d'une fraction de mot suffit à obtenir les résultats voulus. L’usager peut saisir en minuscules comme en majuscules pour sa recherche, de même, l'accentuation est indifférente. Par contre, le champ "auteur", ne peut porter que sur le patronyme de celui-ci ou sur son prénom, et non sur les deux à la fois. Une aide à la recherche est présente pour expliquer tout ceci à l’usager. L’utilisateur peut aussi effectuer une recherche dans « Parcours géographique », où il aura le choix entre trois destinations : Monde Gréco-romain, Egypte ou Proche Orient. En cliquant sur une de ces trois destinations, il obtient tous les ouvrages concernant cette destination. Ce type de recherche est pratique pour restreindre la recherche aux ouvrages voulus.

Statut juridique des documents : Le nom de l’auteur est inscrit dans chaque notice. Il n’y a pas d’autres explications à ce sujet. 

Nombre et pertinence des liens vers d’autres sites : Une rubrique « sélection de liens » est présente où l’usager peut naviguer vers d’autres collections numériques qui restent sur le thème de l’histoire.

Consultation des documents

Description technique : Les documents sont accessibles en mode image.

Affichage : Lorsque l’usager choisi un ouvrage, une page s’ouvre et la notice de l’ouvrage apparaît avec son titre, son auteur, sa date de publication, sa langue, son édition et son indexation. Un onglet « sommaire » est présent où l’usager pourra choisir la page de son choix puis un onglet « consultation » où l’usager pourra visualiser les vignettes 6 par 6. Il pourra grâce à des flèches revenir aux pages précédentes ou avancer dans le document. L’usager pourra également entrer la page où il désire aller dans un moteur puis mettre OK, ce qui le dirigera directement à celle-ci. L’ouvrage est en effet présenté tout d’abord en vignettes et il suffit de cliquer dessus pour qu’elles s’agrandissent dans une page. Dans cette page, l’usager retrouvera les différentes pages et leurs numérotations dans un menu déroulant ainsi que le sommaire où il pourra à tout moment revenir.

Lisibilité des documents : Comme dans un premier temps les pages des ouvrages sont en vignettes, nous ne voyons pas grand-chose. Il suffit bien sûr de cliquer dessus puis la visibilité devient meilleure. Aussi, un menu déroulant appelé « échelle » est présent où l’individu peut choisir son échelle (de 25 à 200 %).

Caractéristiques du site

Rapidité et simplicité de la navigation : Très bonne 

Multilinguisme des instructions : non 

Qualité du graphisme, lisibilité et confort visuel des pages : Très clair 

Adaptation du site aux personnes handicapées : non 

Cette collection numérique est soignée et très agréable à regarder et la navigation est facile et rapide. En matière de recherche, le site met à la disposition de l’usager plusieurs modes de recherche ce qui lui permet d’affiner au mieux sa recherche. Aussi, une sélection de liens pertinents complète la collection ce qui donne la possibilité à l’usager d’aller voir d’autres sites pour plus d’informations dans sa recherche. Je trouve cette collection vraiment agréable et je ne vois pas d’inconvénients majeurs.

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4 janvier 2007

Grille d'analyse 7 Présentation de la collection

Grille d'analyse 7

Présentation de la collection

Nom de la collection : Le Gramophone virtuel : Enregistrements historiques canadiens

URL Domaine : http://www.collectionscanada.ca/gramophone/index-f.html

Responsables/collaborateurs : Bibliothèque et Archives Canada

Objectifs de la collection : La collection traite du début de l'enregistrement sonore au Canada.

Public visé : grand public

Organisation intellectuelle de la collection

Description du fonds : Le fonds est constitué d'enregistrements audionumériques canadiens ainsi que des vidéos. L’utilisateur pourra visualiser également des biographies de musiciens et un résumé sur l'histoire de la musique et de l'enregistrement sonore au Canada lui sera présenté.

Présentation du fonds et qualité des textes introductifs : Présentation claire avec un sommaire structuré qui permet une bonne navigation.

Cohérence de la sélection documentaire : Bonne cohérence documentaire, les documents correspondent parfaitement avec le thème de la collection.

Base de données commune ou propre : Base de données propre.

Métadonnées internes ou externes : Métadonnées internes, dans le document.

Modes d’interrogation de la base : Dans le sommaire, une rubrique « rechercher dans la collection » est présente où l’usager peut effectuer une recherche simple, c'est-à-dire taper le thème qu’il recherche en pouvant la limiter. Aussi, l’usager peut effectuer une recherche élaborée qui consiste à entrer des mots clés : nom, titre, numéro d’album, numéro de tirage… avec la fonction « et, ou, non ». Dans ce mode de recherche, il peut également limiter sa recherche dans le contenu numérisé (MP3, RealAudio, étiquettes numérisées…), dans le genre (blues, opéras, ballades…), dans le choix de la langue (Toutes les langues existantes), par dimensions (5 pouces, 7 pouces, 10 pouces…) et enfin par année de lancement.

Statut juridique des documents :

La reproduction des documents tirés de ce site est régie par la loi canadienne (telle que, par exemple, la « loi sur le droit d'auteur »), les politiques et les règlements du gouvernement du Canada et de Bibliothèque et Archives Canada, de même que par d'autres ententes. Bibliothèque et Archives Canada a fait tous les efforts raisonnables pour trouver les titulaires d'un droit d'auteur. Elle s'est efforcée, dans la mesure du possible, d'établir la source de l'information et d'assurer que cette information sera fidèlement reproduite. Dans des circonstances particulières, Bibliothèque et Archives Canada avisera les lecteurs qu'il est interdit de reproduire des documents sans permission écrite.

Nombre et pertinence des liens vers d’autres sites : La collection a insérée plusieurs liens dans son contenu mais qui reste cependant internes à la collection. Nous pouvons juste trouver un lien renvoyant à Apple, permettant de télécharger le logiciel Itunes pour pouvoir s’inscrire à la « baladodiffusion » qui est une méthode de distribution de fichiers audio par Internet. Elle permet aux usagers de s'inscrire à différentes chaînes audio afin d'entendre leur programmation sur différents récepteurs portatifs ou des ordinateurs personnels.

Consultation des documents

Description technique : Pour plus de renseignements sur les enregistrements, l’utilisateur a à sa disposition une fiche technique qui lui rappelle en détails le processus de lecture de fichiers audio. Après avoir téléchargé le logiciel Itunes, l’usager choisi une chaîne de la galerie de « balados » qui sont disponibles sur le site, puis copie son adresse Internet dans le logiciel de baladodiffusion pour y s’inscrire. Il pourra choisir la pièce qu’il souhaite écouter et le logiciel téléchargera alors automatiquement son contenu en permettant à l’usager d'écouter la pièce qu’il souhaite. d'un lecteur audionumérique ou d'un ordinateur personnel équipé d'un logiciel audioce qu’il souhaite écouter dans la galerie de « ballados ».  Pour les vidéos, le logiciel utilisé est Windows Media Player.

Ecoute des documents : Je n’ai pas pu écouter des enregistrements (pas le matériel nécessaire), mais d’après la description des techniques d’écoute, je pense qu’elle doit être de bonne qualité.

Fonctionnalités proposées : Dans la barre d’outil située à droite du document, il y a les icônes « zoom » pour pouvoir réduire ou agrandir le document à notre guise. L’utilisateur peut taper le numéro de page où il veut se rendre puis taper sur entrée et la page choisie s’affiche ce qui est très pratique et fait gagner du temps. En cliquant sur l’icône correspondant, l’usager peut également aller directement soit à la première, soit à la dernière page. Aussi, il peut revenir à la page précédente ou aller à la page suivante que celle qui est affichée.  Le numéro de page est également indiqué.

Caractéristiques du site

Rapidité et simplicité de la navigation : Bonne.

Aide à la navigation : aucune

Multilinguisme des instructions : non

Qualité du graphisme, lisibilité et confort visuel des pages : assez bonne. Le graphisme est assez simple mais ça permet à la collection d’être claire.

Possibilité de communication : non

Adaptation du site aux personnes handicapées : non

Mon avis

C’est une collection de bonne qualité pour les personnes qui s’intéressent aux ressources documentaires sur les sciences et techniques ou la sociologie. Cette collection est assez complète et propose des documents intéressants. Son plan d’accueil est clair et il est facile de naviguer dans une structure simple. Pour effectuer plus de recherches, l’utilisateur peut grâce aux liens naviguer sur d’autres sites. En ce qui concerne le graphisme, il n’est pas assez travaillé et reste simple mais je pense que pour traiter de documents scientifiques, il n’est pas nécessaire d’avoir un graphisme très élaboré.

4 janvier 2007

Grille d'analyse 6 Présentation de la collection

Grille d'analyse 6

Présentation de la collection

Nom de la collection : Bibliothèque numérique d’Orléans

URL Domaine : http://81.80.204.172/index.php 

Responsables/collaborateurs : Bibliothèque municipale d’Orléans

Objectifs de la collection : Cette collection présente des imprimés (généalogies et almanachs) et des manuscrits du 17, 18 et 19 ème siècle de la ville d’Orléans ainsi que des images (cartes et plans, gravures et cartes postales) de 1550 à 1950.

Public visé : grand public

Organisation intellectuelle de la collection

Description du fonds : La collection conserve 8 volumes manuscrits des généalogies, 3 manuscrits du lieutenant Lenoir, et plusieurs almanachs datant de 1736 à 1898. De plus, elle dispose d’environ 400 anciennes cartes postales et plans d’Orléans, 200 gravures et 1200 cartes postales.

Qualité des textes introductifs : Claire. L’usager choisi l’onglet qui l’intéresse (imprimés ou images) puis il s’oriente sur la sous-rubrique de son choix pour accéder aux documents qui l’intéresse (cartes postales…). Un texte apparaît pour chaque rubrique et sous-rubrique faisant un historique et présentant leur contenu.

Cohérence de la sélection documentaire : Il y a bien une cohérence de la section documentaire.

Base de donnée commune ou propre : Base de donnée propre.

Métadonnées internes ou externes : Métadonnées internes.

Modes d’interrogation de la base : L’usager peut effectuer une recherche par thèmes, par périodes, ou par mots clés. Pour la rubrique « généalogies », l’usager ne peut effectuer qu’une recherche par mots clés ou par ordre alphabétique en cliquant sur la lettre de son choix. Pour la rubrique «  manuscrit », il peut choisir aussi un chapitre précis du document sélectionné.

Statut juridique des documents : Tous les documents numérisés sont la propriété de la Bibliothèque municipale d'Orléans. Sauf autorisation, toute utilisation de ces documents autre que la consultation et la reproduction individuelles et privées sont interdites ou soumises à une autorisation préalable (Web, édition, publicité…). Pour utiliser un document dans une publication, l’usager doit en demander l'autorisation préalable à la Bibliothèque et mentionner " © Bibliothèque municipale d'Orléans ".

Nombre et pertinence des liens vers d’autres sites : La collection propose que 2 liens pour l’installation de Macromedia Flash et d’Adobe Acrobat Reader.

Consultation des documents

Description technique : Les images sont en jpeg et les manuscrits et imprimés sont en mode image également (jpeg).

Affichage : Pour la lecture des imprimés et des manuscrits, l’usager sélectionne le document de son choix. En cliquant sur l’onglet « visualiser », il arrive sur une page sur laquelle est présentée le document accompagné de plusieurs outils. Il peut redimensionner ce document en cliquant sur un curseur en bas de la page qui est très pratique puisqu’il faut juste cliquer dessus et choisir la dimension de son choix en bougeant la souris avec la main. L’usager peut également voir l’image entièrement dans la page en cliquant directement sur un bouton. Les outils « vue suivante » et « vue précédente » sont mis à sa disposition pour qu’il puisse se diriger comme il le souhaite dans le document ainsi que les outils « début » et « fin » pour revenir à la première page ou se diriger à la dernière page du document. Enfin, l’usager peut cliquer sur les onglets « - 10 vues » ou « + 10 vues » pour une visualisation moins détaillée et peut imprimer le document s’il va sur « imprimer ». Un onglet « aide » est présent pour toute difficulté. Pour la lecture des images, le principe est le même sauf qu’il n’y a pas tous les outils cités ci-dessus, nous pouvons juste voir le document et ces métadonnées indiquant le nom, la date et le format du document. Pour agrandir la carte ou le plan, il suffit de faire in click droit de la souris puis de zoomer ou bien de se servir du curseur en bas de la page.

Lisibilité des documents : Bonne visibilité des documents avec les différents outils mis en place.

Caractéristiques du site

Rapidité et simplicité de la navigation : Assez bonne. En effet, il est facile de naviguer et de se rendre vite où on le souhaite.

Aide à la navigation : non

Multilinguisme des instructions : non

Qualité du graphisme, lisibilité et confort visuel des pages : Bonne lisibilité et graphisme simple mais clair.

Adaptation du site aux personnes handicapées : non

Avis : Cette collection numérique est soignée et très agréable à regarder et la navigation est facile et rapide. En matière de recherche, le site met à la disposition de l’usager plusieurs modes de recherche ce qui lui permet d’affiner au mieux sa recherche. Aussi, une sélection de liens pertinents complète la collection ce qui donne la possibilité à l’usager d’aller voir d’autres sites pour plus d’informations dans sa recherche. Je trouve cette collection vraiment agréable et je ne vois pas d’inconvénients majeurs.

Cette collection est claire même si la page d’accueil semble aux premiers abords peu attractive. Elle ne donne en effet pas trop envie de continuer la visite. Cependant, lorsqu’on a fait le tour du site, on peut percevoir que la collection est très bien structurée du fait que ses onglets dans la barre de menu dirigent très bien l’utilisateur puis aussi les pages suivantes sont claires avec une explication de la catégorie choisie, un moteur de recherche et une structure carré. Par contre, l’écriture n’est pas très visible avec sa toute petite taille ce qui peut poser problème aux personnes avec une visibilité réduite.

4 janvier 2007

Grille d'analyse 5 Présentation de la collection

Grille d'analyse 5

Présentation de la collection

Nom de la collection : Biblioteca National de Espana

URL Domaine : http://www.bne.es/esp/colecciones/carteles.htm

Responsables/collaborateurs : Les bibliothèques espagnoles et européennes

Objectifs de la collection : Faire découvrir la collection numérique des affiches de la république et de la guerre civile espagnole. De nombreuses affiches mises à la disposition des usagers sont des affiches publicitaires mais aussi culturelles (affiches de cirque, de théâtre, de politique…).

Date de création : 1990

Public visé : Grand public

Organisation intellectuelle de la collection

Description du fonds : Les principales affiches datent du XXe siècle.
Présentation du fonds et qualité des textes introductifs : Bonne présentation et bonne qualité des textes introductifs.

Cohérence de la sélection documentaire : Bonne cohérence documentaire.

Base de donnée commune ou propre : Base de donnée propre

Métadonnées internes ou externes : métadonnées internes.

Modes d’interrogation de la base : Les recherches peuvent être effectuées d’une part par l’onglet « Búsqueda por Índices » où l’usager peut effectuer une recherche par titres, nom d’auteurs et nom d’éditeurs. D’autre part, l’usager peut effectuer une recherche en cliquant sur l’onglet « Búsqueda por Puntos de Acceso » qui lui permettra d’effectuer une recherche par champ.

Statut juridique des documents : Le statut juridique n’est pas indiqué concernant les affiches.

Nombre et pertinence des liens vers d’autres sites : non

Consultation des documents

Description technique : Les images sont accessibles en format Jpeg.

Affichage : Pour la consultation des images, l’utilisateur a juste à cliquer sur l’image et celle-ci apparaît en taille plus grande. L’usager peut enregistrer et imprimer l’image. Lorsque l’affiche qu’il a choisie s’affiche, nous pouvons lire le nom de l’auteur, le titre de l’affiche et son format. Si nous cliquons sur le titre, une autre fenêtre s’ouvre avec un lien nommé « Acceso al Servicio de Recuperación de Recursos electrónicos » et en cliquant sur ce lien, nous pouvons avec différents outils (zoom, mettre l’image sur la page entière...) modifier la mise en page de l’image.

Lisibilité des documents : Très bonne lisibilité des documents car la présentation claire et les couleurs des affiches sont magnifiques et très nets.

Caractéristiques du site

Rapidité et simplicité de la navigation : Assez bonne

Multilinguisme des instructions : La collection est  en espagnole mais peut-être visitée en anglais.

Adaptation du site aux personnes handicapées : non

Mon avis

Cette collection numérique de la bibliothèque nationale espagnole est assez complète. Aussi, si vous jetez un coup d’œil aux autres collections de la bibliothèques (cartes, ouvrages, musique…) elles sont également assez complètes. Cela dit, je trouve son organisation peu structurée, comme par exemple pour accéder à la collection de la page de présentation, il faut chercher où cliquer car ce n’est pas assez mis en évidence. Nous retrouvons le même problème pour accéder aux outils de visualisation de la mise en page des images ; il faut en effet cliquer sur un lien qui nous envoie à un autre lien… alors que sur plusieurs collections étudiées, les outils (zoom, changement de page…) se trouvaient dans la page elle-même du document ce qui était plus pratique pour l’étude du document. Ce n’est pas la collection la plus claire et structurée que j’ai pu étudier.

4 janvier 2007

Fiche 8 : A l’assaut de la plus grande bibliothèque du monde

Gilles Heuré et Olivier Pascal-Mousselard, A l’assaut de la plus grande bibliothèque du monde, Télérama, mercredi 18 mai 2005, p 8.

Sujet : Le projet Google

Auteur : Gilles Heuré et Olivier Pascal-Mousselard

Mots clés : Google, numérisation, collections, bibliothèques

Google s’est donné comme mission de numériser 15 millions d’ouvrages et de les diffuser sur Internet. Pour cela, il va récupérer les fonds de cinq des plus grandes bibliothèques anglo-saxonnes. Stanford et l’université du Michigan ont commencé fort en signant pour une douzaine de millions d’ouvrages à elles deux. En échange, Elles demandent que les archives ne soient disponibles qu’en consultation avec interdiction de les imprimer et d’indiquer le nom de la bibliothèque à l’écran. En ce qui concerne les pièces anciennes et rares, les bibliothèques ont dû mal à les confier par leur fragilité mais comme le dit le président d’une bibliothèque partenaire : « elles sont fragiles mais ce sont elles, en outre, qui rendent notre collection unique et nous distinguent des autres ». Ce qui intéresse pourtant les responsables de Google c’est que la quantité prime sur la qualité. Ils veulent en effet proposer un maximum de livres dans un maximum de langues en laissant les utilisateurs gérer eux-mêmes la hiérarchie. Plusieurs individus se posent alors des questions sur cette première bibliothèque universelle qui confronte ceux qui sont pour une logique marchande contre ceux qui sont pour une logique intellectuelle. Beaucoup doutent même de ce  projet de numérisation qui entraîne des questions de classification et de conservation. Dans un article du Monde, le président de la Bibliothèque nationale de France dit que ce projet pourrait être un danger et que le poids de la culture anglo-saxonne risque d’être écrasant aussi bien du côté des ouvrages patrimoniaux tombés dans le domaine public que du côté de ceux qui sont encore sous droits. Roger Chartier, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales est du même avis. Pour lui, la numérisation comporte aussi d’autres risques : « Le plus terrible danger est peut-être moins celui du désordre des textes numérisés que celui de la relégation, ou même de la destruction, des objets imprimés »… « Les livres sont plus que des textes. Ils sont des objets dont les formes matérielles, successives ou concurrentes, ont guidé les lectures ». Comme pour Gallica, La BNF pense à un stockage pérenne et à l’enregistrement de toutes les données techniques qui permettent un historique, une structure du document, un stockage des formats… outre la numérisation de masse proposée par les Américains. Il est vrai que Gallica avec ses 80 000 documents et ses 70 000 images a des critères méthodiques où sont pris en compte la valorisation de la culture européenne et française, la rareté, la fragilité, l’utilité pour la recherche. Le président historien, Jean-Noël Jeanneney, s’inquiète lui aussi de l’absence de hiérarchisation du système Américain qui ne fera pas de différence entre l’information et la culture et l’offre de connaissance à la publicité. En effet, le projet google veut mettre en place de la « pub intelligente » qui coïncide avec le produit culturel. Le 27 avril 2005, dix-neuf grandes bibliothèques publiques européennes établissaient la « contre-offensive » pour une numérisation large et organisée des œuvres européennes en initiative commune. C’est alors que le 3 mai 2005, le président du Conseil européen a dit « oui » pour la création d’une bibliothèque européenne en ligne.

Je pense que ce projet qui va permettre une diffusion documentaire très étendue sur le Web, peut être très intéressant. Il va aussi permettre à plus d’ouvrages d’être accessibles sur Internet, ce qui je pense est favorable pour les éditeurs car lorsqu’un livre est rendu accessible sur Internet, généralement les ventes montent. Cependant il est vrai que cette masse d’informations (non hiérarchisée) frôle plutôt le côté commercial que culturel… De plus, en lisant les propos des responsables de google, disant qu’ils cherchent avant tout à disposer d’une importante quantité d’ouvrages (en pensant peu à la qualité, au mode de conservation…) ne me donne pas entière satisfaction. L’avenir nous informera des conséquences de ce projet.

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4 janvier 2007

FICHE 7 : Web 2.0 : la révolution par les usages

Sujet : L’article évoque le Web 2.0 qui est perçu comme une évolution du Web et qui porte de l’ importance dans la collaboration entre les utilisateurs et entre les services sur Internet.

Auteur : Frédéric Cavazza

Mots clés : Web 2.0, Internet, utilisateurs, sites


Web 2.0 est un nouveau terme inventé par Tim O'Reilly. Il est perçu comme une évolution du Web. Tim O’Reilly voit Internet comme une nouvelle dimension collaborative et d’échanges entre les utilisateurs avec le développement des wiki, des tags, des réseaux… Il redéfinit l'Internet non plus comme un média mais comme une plate-forme. Une grande évolution s’est instaurée en ce qui concerne la qualité des sites et des services proposés sur Internet. Les sites essayent de plus en plus d’instaurer une meilleure qualité possible de sorte à se sortir du lot pour pouvoir attirer un bon nombre de visiteurs. Le Web 2.0 permettra peut-être une amélioration en insistant sur une participation plus forte des internautes. Prenons par exemple les blogs qui avec leur évolution et leur multiplication pendant ces dernières années nous ont montré à quel point les internautes aiment prendre la parole pour communiquer entre eux. Aussi les wikis qui connaissent aujourd’hui également une forte croissance (Wikipédia). Les nouvelles évolutions technologiques ont permis une circulation de l'information beaucoup plus fluide (par exemple avec les fils RSS). Des services tels que del.icio.us ou FlickR quant à eux cachent un système de classification basé sur des mots-clés collectifs (ou tags ). Leur principe c’est que le contenu est organisé par les utilisateurs qui appliquent à chacun des éléments comme des photos, des liens… un ou plusieurs tags. Ces tags sont par la suite mis en commun puis les plus pertinents ressortent du lot. Le Web 2.0 permettra aussi aux services de mieux communiquer entre eux. L’exemple du XML et des API qui donnent un nouveau souffle aux Web services avec un service qui en utilise un autre en toute transparence pour un l'utilisateur final. Le roi de cette tendance est le service de cartographie Google Maps d’où une multitude de services dérivés ont vu le jour : HousingMaps.com (immobilier) ou encore ChicagoCrime.org (statistiques de crimes). Les sites tels que Google Personalized Home ou Windows Live de Microsoft donnent un avantage immédiat aux utilisateurs en intégrant les services des autres. Cet avantage : disposer d'un guichet unique pour consulter différents services (webmail, météo, fils d'information...). Un terme qui revient souvent lorsqu’on parle de Web 2.0 c’est le terme « Gadget » qui pourtant possède plusieurs avantages en ce qui concerne les applications en ligne et le e-commerce collaboratif comme par exemple le site de vente de T-shirts LaFraise.com. Sur ce site, ce sont les internautes qui notent les visuels publiés par des visiteurs et si les créations atteignent un score suffisant, des T-shirts sont imprimés et vendus. C’est une sorte de « cercle vicieux gagnant » puisque l'auteur du visuel est rémunéré pour son travail, les internautes choisissent eux-mêmes les T-shirts qui leur plaisent et le patron n'imprime que les T-shirts qu'il est sûr de vendre. Dans ce même concept, Yahoo! Shopping a aussi lancé sa boutique collaborative : la Shoposphere.

Le Web 2.0 permet d’entrer dans une ère nouvelle de collaboration collective où les utilisateurs sont à la fois les contributeurs et les bénéficiaires.

Je pense que le Web 2.0 a comme toute chose plusieurs avantages mais aussi plusieurs inconvénients. Il est toute fois difficile de lui trouver une définition précise. Pour ma part, je pense que son interactivité et sa dimension collaborative du Web est un bon point pour la communication et les échanges des individus que ce soit d’ordre personnel ou professionnel : donner son avis, échanger… L’utilisateur passe donc d'un statut d'utilisateur passif à celui de contributeur actif. De plus, il est une révolution dans l'utilisation des technologies et le développement des services collaboratifs.

4 janvier 2007

Fiche 6 : Blogs et wikis : Quand le web s’approprie la société de l’information

Poupeau Gautier, « Blogs et wikis : Quand le web s’approprie la société de l’information », BBF, 2006, n° 3, p. 29-37

Mots clés : web, blog, wiki, informations, échange

Ces dernières annèes, Le mot « blog » est devenu populaire et se dit « phénomène de société ». Le  wiki prend la même direction que lui d’après de nombreuses personnes. Il est vrai qu'on a juste à regarder Wikipédia, le wiki le plus célèbre, pour affirmer cette hypothèse. Effet de mode, ces technologies sont une avancée majeure du Web quant à sa construction et ses usages et qu’on pourrait définir de Web 2.0. Les blogs et les wikis suscitent un fort engouement qui se traduit par l’apparition de communautés partageant des règles et un vocabulaire communs. Dix ans après la révélation du web au grand public, ces  nouveaux types de publications naissent. Le but du web est de pouvoir avant tout partager rapidement une information. Par exemple, il permet à un auteur de publier directement ses écrits sur le réseau sans passer par l’intermédiaire de l’éditeur et tout en s’assurant un lectorat plus important. Cette évolution informative a donc développé une multitude de sites sur lesquels les utilisateurs abordent les sujets les plus divers. Le principe de l’hypertexte a d’ailleurs permis d’accélérer l’accès à l’information. Les informations sur le web se sont alors multipliées et il a fallu se poser plusieurs questions comme par exemple comment partager l’information entre deux sites. Les CMS ont alors été mis en place et ont permis la visibilité d’informations d’un site web sur un autre site, tel un fichier XML. Les utilisateurs rassemblent l’ensemble des fils de syndication des sites qui les intéressent dans un agrégateur et lorsqu’ils ouvrent celui-ci, la mise à jour des sites leur sont indiqués ce qui facilite la fluidité de l’information. L’information sur le web a explosé et les blogs et les wikis deviennent alors des moyens techniquement simples pour s’exprimer, partager des informations, dialoguer, mettre en commun des connaissances… Ils deviennent de plus en plus essentiels et répondent aux désirent des internautes qui aiment participer à l’environnement collectif du réseau.

Un blog est un site web enrichi régulièrement par une ou plusieurs personnes qui choisissent la périodicité de celui-ci. Les articles appelé aussi billets peuvent être classés dans des catégories et la plupart des blogs proposent aux visiteurs de laisser des commentaires pour chaque article. Il existe plusieurs sortes de blog comme par exemple les jouranux intimes, les blog politiques, jounalistiques, les carnets de voyages…

Le wiki quant à lui est un site web permettant à tous les visiteurs du site d’en modifier les différentes pages à volonté. Ils offrent la possibilité de construire au fur et à mesure un contenu structuré. Le travail collaboratif est primordial dans le wiki. Le plus célèbre est bien sûr Wikipédia qui vise à la constitution d’une encyclopédie universelle en accès libre et gratuit alimentée par les visiteurs du site.  Plusieurs personnes disent qu’une fois la mode passée, les blogs et wiki disparaîtront. Cependant, d’autres croient à leur ancrage dans le paysage du web avec leur considération importante et avec le développement d’un vocabulaire bien spécifique qui leur aient attribués : « blogueur », « blogosphère » ou encore « wikification », « Wikipédiens »…  qui traduit l’existence de cette communauté virtuelle.

Je pense que le développement des blogs et des wikis est peut-être aujourd’hui devenu un effet de mode. Cela dit, ils permettent une grande interaction sur le web entre les individus pour échanger, communiquer, partager, débattre… Pour ma part, je pense qu’il est essentiel de ne pas perdre cette notion de communication entre les individus sur le web pour qu’Internet et les nouvelles technologies ne deviennent pas un environnement individualiste où chacun fait ce qu’il veut de son côté. Le partage d’information est une bonne chose pour se faire une opinion et connaître différents points de vues.

4 janvier 2007

Fiche de lecture 5 : Le droit d'auteur

Pfister, Laurent, « Mort et transfiguration du droit d’auteur ? Éclairages historiques sur les mutations du droit d’auteur à l’heure du numérique », BBF, 2006, n° 5, p. 5-13

Mots clés : Droit d’auteur, lois, propriété, diffusion

Le document évoque dans un premier temps l’historique du droit d’auteur qui permet de visualiser d’un côté, la place de la propriété privée et d’un autre côté, la place du contrat social. Jusqu’au milieu du XXe siècle le droit d’auteur se caractérise par un lent mouvement d’individualisation et de privatisation des œuvres au profit des créateurs. A partir du début du XVIe siècle, des libraires et imprimeurs se battent contre la concurrence déloyale des contrefaçons, en obtenant de la monarchie des avantages exclusifs d’exploitation des ouvrages. Ces privilèges exclusifs sont cependant limités dans leur objet et dans leur durée. C’est à partir du milieu du XVIIe siècle que la monarchie étend considérablement le champ d’application des privilèges et réduit d’autant le domaine public afin de lutter avec plus d’efficacité contre les contrefaçons étrangères. Seule la clientèle royale bénéficie de l’extension des privilèges, composée de quelques grands éditeurs parisiens. C’est à partir de 1725 que les éditeurs parisiens prétendent détenir sur les œuvres non pas des privilèges royaux mais une propriété privée qui leur a été cédée par le travail intellectuel des auteurs. Ainsi, par des arrêts de 1777 et 1778, pour le « récompenser de son travail », la monarchie reconnaît à l’auteur la propriété perpétuelle de son œuvre et du privilège d’exploitation. Les privilèges sont abolis et remplacés par la suite en 1791 par une loi qui établit un compromis entre l’intérêt particulier et l’intérêt général. Aussi, les lois révolutionnaires limitent la durée des droits exclusifs de représentation et de reproduction respectivement à 5 et 10 ans après la mort de l’auteur. A partir de 1866, les droits d’auteur passent à 50 ans entraînant un recul du domaine public. Le droit moral apparaît au milieu du XXe et place l’auteur au centre du système français avec sa spécificité par rapport au copyright anglo-saxon. Le contrat social apparaît à la fin du XVIe siècle avec succès. Il consiste à subordonner l’intérêt particulier de l’auteur et de ses ayants droit à l’utilité sociale et à un ensemble de libertés. Son principe est que la société est l’origine et la fin de toute production intellectuelle car elle met à la disposition de tous le patrimoine commun des idées et collabore ainsi à tout ouvrage de l’esprit. Le modèle du contrat social se caractérise surtout par l’assimilation du droit d’auteur à un droit à rémunération du travailleur intellectuel. La question qu’on se pose aujourd’hui c’est de savoir où est la place du droit d’auteur dans une société qui évolue de jours en jours dans le numérique, ce qui facilite la reproduction et la diffusion des œuvres. En effet, avec les nouveaux procédés d’information et de communication, les individus peuvent télécharger des textes, des images, et des sons autant qu’ils le souhaitent sans autorisation. Le droit d’auteur se heurte à d’autres  droits comme par exemple à celui du « droit de copie privée » ce qui rend les choses difficiles. Cependant, il existe aussi des mesures techniques de protection qui peuvent contrôler les œuvres après leurs mises en ligne et en verrouiller l’usage contre le piratage. Aussi, les grandes entreprises ont la possibilité de clore les œuvres avec les techniques de numérisation. En effet, pour elles, le recours aux enclosures numériques remplace celui de la propriété. Bientôt,  les exemplaires musicaux, de films… ne seront plus vendus par les producteurs mais seront juste autoriser à être vu, écouté et lu par les consommateurs. La socialisation du droit d’auteur vise à préserver l’intérêt et les « droits » du public. La tentation de la socialisation du droit d’auteur se manifeste par, par exemple,  La proposition d’instaurer à la mort de l’auteur un domaine public payant. Aussi, les licences permettent au public d’utiliser l’œuvre publiée d’une manière déterminée, sans autorisation de l’auteur ou de ses ayants droit mais moyennant une récompense. Les auteurs peuvent aussi par leur simple volonté décider d’eux-mêmes des licences. Il renonce alors volontairement à ses droits patrimoniaux et à son droit moral à l’intégrité de l’œuvre. Les utilisateurs sont ainsi libres de modifier…

Le droit d’auteur est aujourd’hui un sujet intéressant avec toutes les évolutions technologiques qui surgissent pour pouvoir visualiser où il se place aujourd’hui. Cet article a été compliqué et j’ai eu de la difficulté à en faire une fiche, surtout que des nouvelles lois apparaissent, d’autres disparaissent, d’autres sont modifiées… Il est difficile de s’y retrouver. Cela dit, il est important aujourd’hui de continuer à relier l’œuvre à son auteur et de ne pas négliger le droit que dispose celui-ci.

22 décembre 2006

Grille d'analyse 4 Présentation de la collection

Grille  d'analyse 4

Présentation de la collection

Nom de la collection : Le petit journal

URL Domaine : http://bibnum2.banq.qc.ca/bna/petitj/index.html

Responsables/collaborateurs : Bibliothèque et archives nationales du Québec

Date de lancement : 12 avril 2006

Objectifs de la collection : Cette collection met à la disposition de l’usager les numéros de l’hebdomadaire populaire « Le petit journal », qui témoignent de plus de 50 ans de la vie québécoise. 

Public visé : Grand public 

Organisation intellectuelle de la collection

Description du fonds : Le nombre exact n’est pas indiqué, cela dit, la collection propose des numéros de 1926 à  1978.
Présentation du fonds et qualité des textes introductifs : La présentation est claire et bien structurée. On trouve en effet sur la première page une phrase introductive qui présente la collection. A gauche de la page, l’utilisateur trouve un sommaire avec une rubrique « présentation » qui donne un petit historique sur le journal, une rubrique « mode d’emploi » qui dirige l’usager sur comment consulter les numéros du journal (cliquer sur les rubriques, mode PDF…). Enfin, en dessous, nous trouvons les années classées de 1926 à 1978. Si nous cliquons sur une année, un menu déroulant apparaît et nous propose les différents mois puis si nous cliquons de nouveau sur le mois, un autre menu déroulant apparaît en présentant les jours. Lorsque l’usager clique sur le jour de son choix, le numéro apparaît à droite puis il peut choisir d’aller directement sur une page.

Cohérence de la sélection documentaire : Il y a bien une cohérence de la sélection documentaire puisque les documents sont bien tous des numéros du « Petit journal ».

Base de donnée commune ou propre : Base de donnée propre.

Métadonnées internes ou externes : Métadonnées internes. Lorsqu’on enregistre le document et que nous allons dans fichier, il y a une rubrique « propriétés » qui nous donne plusieurs informations sur le document (taille du fichier, date de création…).

Modes d’interrogation de la base : L’utilisateur peut effectuer une recherche sur la page d’accueil de la BNQ. Aussi, lorsque l’usager clique sur une page d’un document, une fenêtre s’ouvre présentant plusieurs fonctionnalités dont l’outil « main » pour pouvoir sélectionner des mots dans le texte. Aussi, il peut effectuer une recherche avec Yahoo pour rechercher des mots ou expressions dans les documents. Enfin, l’outil « jumelles » est présent pour effectuer une recherche par expressions ou mots.

Statut juridique des documents : Sur la page de présentation un copyright Bibliothèque nationale du Québec 2005 est mentionné. 

Consultation des documents

Description technique : Les documents sont tous enregistrés en mode PDF.

Affichage : L’affichage des documents s’effectue dans la partie droite et dans une partie gauche nous retrouvons la navigation (choix des pages, de la date du document). Lorsque l’usager clique pour choisir une page du document, une fenêtre s’ouvre avec à sa disposition plusieurs outils comme : enregistrer le document, l’imprimer, l’ajouter à une collection, zoomer, effectuer une rotation du document, vérifier l’orthographe.

Logiciel de visualisation : Adobe Reader. 

Lisibilité des documents : La version numérique du « Petit journal » a été réalisée à partir des microfilms originaux produits par la firme « Socami » de Montréal. Cela dit, la lisibilité des documents est assez bonne. L’utilisateur dans les outils à a sa disposition l’outil zoom et peut donc visualiser précisément une sélection dans le document.

Liens : L’utilisateur peut aller sur le site de la firme Socami qui détient les microfilms originaux des numéros des journaux.

Caractéristiques du site

Rapidité et simplicité de la navigation : Très bonne et assez rapide pour visionner les documents.

Aide à la navigation : aucune. 

Multilinguisme des instructions : Français, anglais, espagnol. Montréal étant une ville multi linguiste, ça se comprend.

Qualité du graphisme, lisibilité et confort visuel des pages : Très claire et couleurs harmonieuses. 

Possibilité de communication : L’utilisateur peut aller sur le site de la firme Socami 

Adaptation du site aux personnes handicapées : non 

Mon avis

Cette collection est très claire dans sa présentation et très simple dans sa navigation. De plus plusieurs outils sont mis en place pour que l’usager puisse exploiter le document comme il le souhaite et avec facilité. Je trouve convenable que dans la présentation du document, un historique sur le journal soit fait puis que dans le « mode d’emploi » on nous donne des précisions pour exploiter au mieux les documents. Aussi, nous naviguons assez rapidement ce qui permet d’effectuer une recherche complète sans perte de temps. Le seul inconvénient de cette collection c’est que si l’utilisateur veut accéder à un article précis, il faut qu’il connaisse la date précise de la parution du numéro dans lequel celui-ci paraît. En effet, il serait convenable qu’il y ai aussi une liste des titres des articles dans le sommaire pour que l’usager puisse choisir directement le titre de l’article qu’il souhaite.

22 décembre 2006

fiche de lecture 4

Brophy, Peter, « La bibliothèque hybride », BBF, 2002, n° 4, p. 14-20

Mots clés : Bibliothèque, système, ressources, interopérabilité, services.

Sujet : Le dossier traite du concept de la bibliothèque hybride qui s’est développée pendant le lancement de la dernière phase du Programme des bibliothèques électroniques du Royaume-Uni (eLib) il y a cinq ans. 

La bibliothèque Hybride est une bibliothèque qui ajoute à ses ressources classiques, des ressources électroniques sur support, ainsi que des ressources accessibles sur le Web, et qui gère le tout dans une même politique documentaire. D’après le texte, pour Chris Rusbridge, responsable de la mise en place de ce programme, la bibliothèque hybride sert à rassembler une large sélection de technologies issues de différentes sources dans le contexte d’une bibliothèque opérationnelle. Ainsi, elle sert à étudier les systèmes et les services intégrés dans les deux sortes environnements qui sont l’électronique et l’imprimé. Enfin, elle inclue l’accès à tous les types de ressources au moyen des différentes technologies utilisées dans les bibliothèques numériques, quels que soient les supports. Ce concept a suscité un immense intérêt au Royaume-Uni, dans les bibliothèques universitaires, où s’est développé également la Distributed National Electronic Resource (DNER) qui est définie comme « une gestion d’accès sur Internet à des ressources validées ». Les services « traditionnels » (collections imprimées) présentent plusieurs inconvénients. En effet, chaque document doit être utilisé par un seul lecteur à la fois, la bibliothèque ne peut stocker qu’un certain nombre de documents, les longs délais du processus de publication (de l’éditeur jusqu’à la bibliothèque) rendent les documents obsolètes quand ils intègrent les collections et les documents peu demandés ont des coûts d’acquisitions et de conservations très élevés. De plus, la manipulation physique des documents est coûteuse et les documents souvent consultés s’abîment vite et doivent être remplacés. Cela dit, la bibliothèque traditionnelle possède encore de nombreux avantages et l’imprimé reste aujourd’hui un support privilégié pour les publications courantes. Mais les services numériques possèdent également des inconvénients. Il est vrai que la qualité des sources est souvent incertaine, il n’est aussi pas facile de parcourir un document en détails à cause d’un affichage page écran après page écran, la conservation des documents reste une question ouverte et la bibliothèque électronique contribue peu à l’interaction sociale. Le concept de la bibliothèque hybride va en quelque sorte être une alternative entre les bibliothèques traditionnelles (contenant des ressources papiers) et les  bibliothèques numériques (contenant des ressources électroniques). Elle est composée de « guichets » qui ont été développés pour comprendre aussi bien des ressources électroniques en texte intégral que des « pointeurs » bibliographiques vers des documents traditionnels. Un guichet est aussi conçu pour présenter des groupements de ressources aux utilisateurs (par exemple lorsque plusieurs grandes bibliothèques universitaires coopèrent pour élaborer un catalogue collectif de leurs collections). Ces groupements sont appelés « bouquets » et leur gestion est complexe puisqu’elle repose sur la coopération entre des institutions distinctes dont chacune possèdent des ressources, un public et des objectifs différents.

Une série de questions est indispensable pour la réalisation et la mise en place des bibliothèques hybrides. Les questions majeures se portent dans un premier temps sur l’interopérabilité, c'est-à-dire la compatibilité des organisations permettant à plusieurs institutions d’agir ensemble et l’exigence d’une interaction harmonieuse et sans intervention humaine, de l’ensemble des services. L’interopérabilité est abordé selon cinq angles d’approche différents par le Royaume-Uni qui a créé un « point d’interopérabilité » pour aider les créateurs à débattre de cette question. Premièrement, l’interopérabilité technique qui porte sur la communication des données, mais aussi sur le stockage et les normes nécessaires à l’interaction des systèmes. Deuxièmement, l’interopérabilité sémantique qui pourra par exemple s’appuyer sur l’usage d’un thésaurus. Troisièmement, l’interopérabilité politique et/ou humaine qui concerne l’exercice du contrôle des ressources. Quatrièmement, l’interopérabilité intersectorielle qui a pour but de faciliter les échanges de données et la cinquième, l’interopérabilité internationale qui porte sur les questions d’ordre linguistique et culturel. Le  protocole « Recherche et récupération » (Z39.50) est un des résultats de la réflexion faite sur l’interopérabilité. Plusieurs bases de données peuvent en effet être consultées simultanément par les utilisateurs. Dans un deuxième temps, des questions complexes sont posées sur la description des ressources. Les types de ressources et de collections que la bibliothèque hybride peut décrire sont celles des bibliothèques, des musées et des centres d’archives et  sur Internet : des portails thématiques, des bases de données, des collections d’images, des ressources sonores, des logiciels... Un des principaux problèmes porte sur la standardisation des métadonnées nécessaires à la description des ressources. D’après le texte, des tensions naissent à propos de l’utilisation de ces métadonnées entre fonctionnalité et simplicité, extensibilité et interopérabilité. Il existe plusieurs types de métadonnées qui donnent plusieurs sortes d’informations. Elles peuvent en effet être descriptives ou analytiques, en rapport avec la localisation, la provenance de la ressource… Elles peuvent aussi faire partie intégrante de la ressource qu’elles décrivent comme dans une page Web par exemple, ou n’avoir aucune attache fondamentale avec elle.

Troisièmement, un questionnement sur l’authentification et l’autorisation est nécessaire car la bibliothèque Hybride doit disposer d’informations sur les utilisateurs et leurs préférences personnelles et connaître précisément les ressources qu’ils sont autorisés à consulter en vertu de leur appartenance à un milieu professionnel. L’authentification consiste à préciser l’identité d’un utilisateur dans un contexte donné et l’autorisation, qui accompagne l’authentification, consiste à contrôler les niveaux d’accès aux ressources permis à cette identité reconnue. Quatrièmement, on s’interroge sur la pérennité d’un service pour connaître sa maintenance dans la durée et sur son accessibilité. En effet, pour les personnes handicapées, la plupart des documents numériques ne sont pas adaptés. 

L'étude de ce dossier m’a pris du temps car, d’une part, j’ai trouvé dans le texte de nombreuses explications techniques qui n’ont pas été simples à expliquer et d’autre part, je ne comprenais pas tous les mots et j’ai dû m’aider d’un dictionnaire et de mes cours. Ce texte n’était pas simple à comprendre mais cette étude m’a permis d’enrichir mon vocabulaire professionnel.

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